L’association prépare sa rentrée et continue de mettre tout en œuvre pour combattre le projet de Surf park.
La météo de l’été et les évènements climatiques récents nous confortent dans notre position développée lors de la réunion publique d’information le 12 juin dernier :
Le niveau de la Loire et du Lac de Grand lieu n’a jamais été aussi bas. C’est une situation inédite pour le traitement de l’eau à laquelle les techniciens et entreprises font face.
Selon LA DREAL ( Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement):
« Le mois de juillet chaud et sec, a provoqué une sécheresse généralisée remarquable par son intensité et sa rapidité sur les compartiments hydrologiques les plus réactifs ( rivières et nappes réactives) […] La Loire en particulier a présenté des débits très faibles pour un mois de juillet, entraînant des restrictions de prélèvements et d’usage sur cette ressource habituellement épargnée. »
L'été fut rude pour le climat...et aussi pour le PRE.
Deux membres du CA ont démissionné en juillet : Christine Bonnin et Liliane Vaillant.
Un troisième nous a quitté en juin : Serge Rousseau
Mais deux adhérents ont proposé leur candidature et conformément à l'article 10 de nos statuts : "...En cas de vacances, le Conseil d'Administration pourvoit provisoirement au remplacement de ses membre. Il est procédé à leur remplacement définitif par la prochaine assemblée générale. "
C'est avec plaisir que nous accueillons :
Evelyne Michaud de Bouaye et Pierre Bouchaud de Saint Père en Retz.
Avec eux nous continuons notre lutte sur le plan juridique avec l’aide de professionnel et en partenariat avec la LPO, Bretagne vivante, France Nature Environnement pour empêcher la réalisation du projet de surf park à St Père.
Nous vous informerons de toutes nos avancées.
Merci pour votre soutien et votre confiance.
le CA du PRE
Marc Blanchard
Véronique Le Houérou
Pierre Bouchaud
Evelyne Michaud
Cyril Durand
Pierre Le Houérou
Maïthé Moussé
Question : combien de temps, à la période où nous en avons le plus besoin, sommes-nous prêts à fermer nos robinets pour faire fonctionner un surf park ?